La réforme de la garde à vue exige la présence d’un avocat pendant les auditions et donne aux accusés le droit de garder le silence. Ce texte a définitivement été adopté par le Parlement mardi 12 avril par 294 voix pour et 221 voix contre. Dès vendredi, la Cour de cassation devrait rendre une décision formalisant la mise en place de la réforme. Le gouvernement espère une mise en application immédiate, malgré les critiques de la gauche et les syndicats.