Côtes-d’Armor : enquête ouverte après le décès d’un quadragénaire vacciné avec AstraZeneca

Suspension de ce vaccin dans plusieurs pays européens, dont la France 

Alors que le monde se concentre sur la vaccination contre le coronavirus pour atteindre rapidement l’immunité collective, le remède élaboré par AstraZeneca fait jaser. Des caillots sanguins, voire des décès, sont suspectés d’être liés au sérum de ce laboratoire suédo-britannique.

Après la survenue de cas d’évènements thromboemboliques chez des personnes vaccinées avec le produit d’AstraZeneca, plusieurs pays européens ont décidé de suspendre l’utilisation de cet antidote. Le président de la République française a emboîté le pas 15 mars dernier.

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Ouverture d’une enquête après le décès d’un homme vacciné avec le remède d’AstraZeneca

Ce vendredi, le parquet de Saint-Brieuc a affirmé avoir ouvert une enquête après le décès d’un homme de 42 ans ayant reçu une dose du vaccin d’AstraZeneca. Le quadragénaire a été vacciné le 13 mars. Il est mort le 22 mars à Pleumeur-Bodou dans les Côtes-d’Armor, selon l’avocat de la famille, Etienne Boittin.

Me Boittin a affirmé que cet homme était " en bonne santé, il avait une raison médicale qui suffisait à le vacciner". Il a indiqué qu’une "conclusion précise" sur l’origine du décès sera rendue après les examens médicaux et l’analyse du dossier médical. Pour cela, il faudrait, selon ses dires, attendre entre 3 à 4 semaines. 

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