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Visé par la vague de cyberattaques internationales, le constructeur français Renault a mis en place une action depuis vendredi soir.
La France n’a pas été épargnée. Alors que de nombreux pays dans le monde ont été frappés depuis vendredi après-midi par une vague de cyberattaques, l’Hexagone est également touché. Dans un communiqué sorti après ce piratage international, le constructeur français Renault a également déclaré être dans le collimateur. "Nous avons été touchés", a indiqué un porte-parole du groupe à l’AFP.
Cette même source a souligné que Renault est en train de voir la situation de près et de l’analyser. "Une action est en place depuis hier (vendredi) soir. On fait le nécessaire pour contrer cette attaque", a-t-il précisé sur le récit du Figaro. Il est à noter que le groupe est la première entreprise française touchée par ces attaques qui ont frappé plusieurs pays dans le monde.
De nombreux pays notamment la Grande-Bretagne, mais aussi la Russie ont été la cible d’une vague de cyberattaques depuis vendredi après-midi. Les services médicaux britanniques ont rencontré de nombreuses difficultés à organiser leurs tâches. Des patients ont dû être redirigés vers d’autres hôpitaux, et des opérations chirurgicales ont été annulées. Ce samedi matin, les autorités britanniques ont confié ne pas trouver une explication derrière ce piratage de grande envergure.
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