Illustration/SIPA
Les inégalités entre un homme et une femme font toujours rage actuellement. Les conséquences de ces impartialités sont pesantes pour les femmes qui sont souvent lésées par rapport aux hommes même dans la société occidentale. L’inégalité salariale reflète parfaitement cette injustice.
Pour le même poste et le même travail, une femme gagne 10% moindre qu’un homme. Cette inégalité crée implicitement des conséquences néfastes moralement auprès de la gent féminine. De plus, une étude sur l’accessibilité des emprunts bancaires pour les femmes est problématique, pour les hommes, les emprunts sont nettement plus faciles. Le courtier Empruntis a publié une recherche parlant de cette injustice et elle a été rapportée par RTL aujourd’hui le 8 mars, journée mondiale de la femme.
Selon cette étude, pas plus d’une femme sur trois emprunteurs bancaires voit leur demande de prêt accordé. Un homme convainc mieux les banquiers qu’une femme même si cette dernière propose d’excellents projets. Par ailleurs, les femmes qui arrivent quand même à avoir un prêt remboursent moins vite qu’un homme qui occupe le même poste qu’elle car il gagne plus. L’allongement du remboursement est fonction des barèmes des taux des banques qui sont tributaires du niveau de revenus.
Cécile Roquelaure, directrice des études chez Empruntis a confirmé cette difficulté que les femmes doivent vivre au quotidien. "Les femmes ne jouent pas à jeu égal avec les hommes", a-t-elle indiqué. "Avoir 10% de revenus en moins, ça a trois impacts : une capacité de remboursement mensuelle qui est inférieure de 100 euros, les coûts de crédit peuvent être supérieurs (...) et le coût de l’assurance qui va de 500 à 700 euros de plus", a-t-elle rajouté.
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