Illustration/SIPA
Les cas ont été recensés à Asnières-sur-Seine, dans les Hauts-de-Seine. En cause, l’état sanitaire du commissariat.
Les cas suspects de tuberculose ont été relevés dans un commissariat situé en région parisienne, à trois mois d’intervalle, rapporte Le Point. La hiérarchie de la police est embarrassée. La première contamination remonte au 26 mars dernier, il s’agit d’une fonctionnaire de police qui avait été hospitalisée en urgence à Levallois-Perret.
Cette policière a été diagnostiquée par les médecins porteuse du bacille de Koch, l’agent responsable de la tuberculose. Jeudi dernier, un deuxième cas a été confirmé sur une autre fonctionnaire de police âgée de 34 ans. Pour l’heure, aucune mesure n’a été, semble-t-il, prise pour endiguer une éventuelle épidémie au sein du commissariat. Un troisième cas serait aussi en cours d’analyse.
Les agents de police dénoncent ouvertement des conditions d’hygiène déplorables. "Il n’y a même pas de savon pour se laver les mains ni de gel hydroalcoolique pour se désinfecter", révèlent-ils.
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