Suite à un propos relaté dans ’’Merci pour ce moment’’, le magazine Closer attaque en justice Valérie Trierweiler…
Le motif de la plainte : Valérie Trierweiler affirme avoir rencontré François Hollande après leur rupture alors qu’elle a fait condamner le magazine people pour avoir rapporté ces rencontres. L’ancienne Première dame a dû être étourdie au cours de la rédaction de son livre. En tout cas Closer a sauté sur son faux-pas en revenant sur leur entremêlé judiciaire d’il y a quelques mois.
La revue avait été condamnée en mars et juin pour atteinte à la vie privée et au droit à l’image pour avoir écrit que l’ex-compagne de François Hollande vivait avec un esprit de revanche, et pour avoir indiqué qu’elle avait revu le chef de l’Etat après leur séparation en janvier 2014. Closer avait dû verser 19 000 euros à Valérie Trierweiler.
La parution début septembre de "Merci pour ce moment", a permis au magazine de rattraper Valérie Trierweiler. Closer estime que l’esprit de revanche est avéré, tandis que la tenue des rencontres entre l’ex-Première dame et le président après leur rupture est désormais établie. Pour cet aveu, la société Mondadori Magazines France, qui édite Closer réclame un euro de dommages et intérêts, ainsi que le remboursement de ses frais de justice.
Pour rappel, le magazine people avait révélé l’existence d’une relation entre le président François Hollande et l’actrice Julie Gayet dans un dossier de sept pages accompagné de photos. Deux semaines plus tard, le chef de l’Etat annonçait leur séparation.
Interrogé par l’AFP sur la plainte, Closer n’a pas donné de commentaires, tandis que Valérie Trierweiler a indiqué ne pas être au courant. L’avocat de cette dernière, Me Georges Kiejman, a qualifié la décision de Closer de "faribole".