Valérie Trierweiler, ex-compagne de François Hollande se dit prête à apporter les preuves corroborant que le président de la république a utilisé l’expression "sans-dents" à maintes reprises.
La journaliste l’affirme et le confirme. Selon Valérie Trierweiler, le chef de l’Etat s’est servi de cette expression et l’a maintes fois utilisée. L’ex-compagne de François Hollande se dit même prête à apporter les preuves dans le cas où l’affaire aboutit à un procès. François Hollande a-t-il réellement utilisé l’expression "sans-dents" pour qualifier les pauvres ? La question reste toujours sans réponse et lors de son interview au Nouvel Observateur, le patron de l’Elysée n’a jamais formellement démenti l’usage de l’expression. Ce qui confirmerait peut-être les déclarations de Trierweiler dans son livre "Merci pur ce moment".
D’après les informations relayées par L’express, "Valérie Trierweiler a confié à quelques proches qu’elle détenait la preuve de ce qu’elle avançait à propos des "sans-dents". Et qu’elle pourrait la sortir si nécessaire, tout comme les dizaines de SMS de son ex-compagnon qu’elle a évidemment conservés." La dame qui est actuellement en voyage à Madagascar a visiblement bien préparé sa revanche et dispose d’une armature de preuves ravageuses, les unes autant que les autres.
Valérie Trierweiler avait bien calculé son coup et elle était consciente que les "sans-dents" représentaient la pièce maîtresse de son ouvrage, celle qui cachait une attaque politique dévastatrice. Prudence oblige, la journaliste et son éditeur des Arènes, Laurent Beccaria, avaient tout de même demandé au Monde et à Paris Match qui ont publié les "bonnes feuilles" de l’ouvrage, de ne faire apparaître cette expression qu’à l’intérieur de l’article pour justement éviter de faire trop de bruits plus qu’il n’en a déjà fait.
A sa relecture, le manuscrit s’est vu modifier et même légèrement adouci notamment dans la partie François Hollande et Ségolène Royal. Dans cette deuxième version, "le passage sur les "sans-dents", notamment, a été revu de très près". C’est sur ce passage que Valérie Trierweiler affirme avoir la "preuve" des propos de François Hollande et se dit prête à la dévoiler en cas de procès.