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Outre l’eurodéputé Nicolas Bay, plusieurs assistants ont été mis en examen dans le cadre de l’affaire des emplois présumés fictifs du FN au Parlement européen.
L’affaire des emplois présumés fictifs du FN au Parlement européen connaît de nouveaux bouleversements. D’après de sources concordantes ce lundi, l’eurodéputé RN Nicolas Bay, connu en tant que garde du corps de Marine Le Pen a été mis en examen. Cette même mesure a été appliquée à Thierry Légier, rémunéré comme assistant parlementaire. Il en est de même pour deux autres assistants dans le cadre de ce dossier.
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Le nom de Nicolas Bay circule depuis quelque temps pour mener la liste du Rassemblement national (RN, ex-FN) aux élections européennes. La date de sa mise en examen remonte au 8 juin pour "abus de confiance", rapporte Europe1. Il s’agit du même chef de délit retenu à l’encontre de la présidente du RN Marine Le Pen en juin 2017. D’après une source proche de l’enquête, Thierry Légier a été mis en examen le 18 avril. Il est soupçonné pour "recel d’abus de confiance".
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