Avec une prochaine étape judiciaire fixée au vendredi 20 mai, la journée de mardi a été marquée par les répercussions de « l’affaire DSK », qui continue de secouer le paysage politique français et la planète financière. Dominique Strauss-Kahn, dont la carrière internationale et nationale est sérieusement compromise, risque plus de 70 ans de prison dans cette affaire. Afin de protéger le patron du FMI, les autorités américaines l’ont placé sous surveillance anti-suicide.
Selon un responsable syndical de la prison, Dominique Strauss-Kahn a été placé sous surveillance anti-suicide, comme le rapporte la chaîne de télévision américaine NBC. Il s’agit d’une mesure de précaution prise après un entretien psychologique. DSK est notamment contrôlé toutes les 15 à 30 minutes et porte des chaussures sans lacets.
Les responsables de la prison Rikers Island ont précisé que le patron du FMI avait passé une nuit « sans incident ». Le Fonds monétaire international a indiqué mardi soir ne pas avoir réussi à entrer en contact avec son directeur général depuis son interpellation à l’aéroport JFK, dimanche. Le FMI estime qu’il est important qu’il puisse contacter Dominique Strauss-Kahn dans un « délai convenable », peut-on lire sur le site de 20 minutes qui précise également : " des voix s’expriment en faveur d’une transition à la tête de l’institution financière".
Deux sources au sein du Fonds monétaire international ont confirmé à Reuters que le conseil d’administration a tenté de joindre DSK pour savoir s’il envisageait ou non de se maintenir à son poste.
Une réunion extraordinaire a rassemblé les ténors du parti socialiste hier, au siège situé rue Solférino à Paris. Cette réunion a duré une trentaine de minutes. A la sortie, le leitmotiv était « Unité, responsabilité, combativité. » La première secrétaire du PS a une nouvelle fois condamné la diffusion d’images "humiliantes" de DSK en France, rappelant que le principe de présomption d’innocence prévalait dans la loi française. Concernant les primaires en vue de la présidentielle, la première secrétaire du parti a esquivé, estimant que ce n’était « pas le moment » de prendre des décisions.
Alors qu’il comparaissait ce lundi devant le tribunal pénal de New York, la juge américaine Mélissa Jackson a refusé sa demande de libération contre une caution d’un million de dollars présentée par ses avocats. La victime présumée, une jeune femme de 32 ans d’origine africaine, bénéficie du programme de protection des victimes. Sollicitée par les médias, celle par qui le scandale est arrivé a demandé aux autorités de protéger son identité et refuse de s’exprimer à l’heure actuelle.
Ce mardi, le « New York Post » a évoqué la possibilité que la défense plaide le rapport sexuel consenti. Une information à prendre avec précaution puisque aucune autre source ne l’a évoqué. Un porte-parole de l’administration pénitentiaire de New York a répondu dans un communiqué que « l’état de santé d’un détenu est confidentiel ». Le « règlement exige que chaque détenu soit évalué en fonction du risque qu’il puisse se faire du mal ou en faire aux autres », a-t-il ajouté. « L’administration pénitentiaire de la ville de New York observe les mêmes règles de sécurité et de santé pour tous les détenus », précise le document.
Dominique Strauss-Kahn comparaitra une nouvelle fois devant le tribunal de New-York ce vendredi 20 mai. Le directeur général du FMI encourt plus de 70 ans de prison pour les faits qui lui sont reprochés, à savoir l’agression sexuelle, la tentative de viol et la séquestration au deuxième degré d’une femme de chambre de l’hôtel Sofitel, samedi dernier.
Le patron du FMI est dans la tourmente. Sa carrière politique semble définitivement entachée par ce scandale sans précédent. Le socialiste sera jugé par un jury populaire en fin de semaine, composé de 16 à 23 membres. ces-derniers auront la charge de définir les chefs d’inculpation. On saura vendredi si la justice américaine, qualifiée de "justice spectacle" pour son traitement de l’affaire DSK, décide de poursuivre Dominique Strauss-Kahn ou de rejeter la plainte de la victime présumée. Hier, le PS parlait d’une "mise à mort politique". Depuis deux jours, c’est la chute de DSK qui fait les grands titres. Les médias attendent une réaction de l’homme politique.
Selon un responsable syndical de la prison, Dominique Strauss-Kahn a été placé sous surveillance anti-suicide, comme le rapporte la chaîne de télévision américaine NBC. Il s’agit d’une mesure de précaution prise après un entretien psychologique. DSK est notamment contrôlé toutes les 15 à 30 minutes et porte des chaussures sans lacets.
Les responsables de la prison Rikers Island ont précisé que le patron du FMI avait passé une nuit « sans incident ». Le Fonds monétaire international a indiqué mardi soir ne pas avoir réussi à entrer en contact avec son directeur général depuis son interpellation à l’aéroport JFK, dimanche. Le FMI estime qu’il est important qu’il puisse contacter Dominique Strauss-Kahn dans un « délai convenable », peut-on lire sur le site de 20 minutes qui précise également : " des voix s’expriment en faveur d’une transition à la tête de l’institution financière".
Deux sources au sein du Fonds monétaire international ont confirmé à Reuters que le conseil d’administration a tenté de joindre DSK pour savoir s’il envisageait ou non de se maintenir à son poste.
Une réunion extraordinaire a rassemblé les ténors du parti socialiste hier, au siège situé rue Solférino à Paris. Cette réunion a duré une trentaine de minutes. A la sortie, le leitmotiv était « Unité, responsabilité, combativité. » La première secrétaire du PS a une nouvelle fois condamné la diffusion d’images "humiliantes" de DSK en France, rappelant que le principe de présomption d’innocence prévalait dans la loi française. Concernant les primaires en vue de la présidentielle, la première secrétaire du parti a esquivé, estimant que ce n’était « pas le moment » de prendre des décisions.
Alors qu’il comparaissait ce lundi devant le tribunal pénal de New York, la juge américaine Mélissa Jackson a refusé sa demande de libération contre une caution d’un million de dollars présentée par ses avocats. La victime présumée, une jeune femme de 32 ans d’origine africaine, bénéficie du programme de protection des victimes. Sollicitée par les médias, celle par qui le scandale est arrivé a demandé aux autorités de protéger son identité et refuse de s’exprimer à l’heure actuelle.
Ce mardi, le « New York Post » a évoqué la possibilité que la défense plaide le rapport sexuel consenti. Une information à prendre avec précaution puisque aucune autre source ne l’a évoqué. Un porte-parole de l’administration pénitentiaire de New York a répondu dans un communiqué que « l’état de santé d’un détenu est confidentiel ». Le « règlement exige que chaque détenu soit évalué en fonction du risque qu’il puisse se faire du mal ou en faire aux autres », a-t-il ajouté. « L’administration pénitentiaire de la ville de New York observe les mêmes règles de sécurité et de santé pour tous les détenus », précise le document.
Dominique Strauss-Kahn comparaitra une nouvelle fois devant le tribunal de New-York ce vendredi 20 mai. Le directeur général du FMI encourt plus de 70 ans de prison pour les faits qui lui sont reprochés, à savoir l’agression sexuelle, la tentative de viol et la séquestration au deuxième degré d’une femme de chambre de l’hôtel Sofitel, samedi dernier.
Le patron du FMI est dans la tourmente. Sa carrière politique semble définitivement entachée par ce scandale sans précédent. Le socialiste sera jugé par un jury populaire en fin de semaine, composé de 16 à 23 membres. ces-derniers auront la charge de définir les chefs d’inculpation. On saura vendredi si la justice américaine, qualifiée de "justice spectacle" pour son traitement de l’affaire DSK, décide de poursuivre Dominique Strauss-Kahn ou de rejeter la plainte de la victime présumée. Hier, le PS parlait d’une "mise à mort politique". Depuis deux jours, c’est la chute de DSK qui fait les grands titres. Les médias attendent une réaction de l’homme politique.
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