Lionel GUERICOLAS /MPP/SIPA
Avant que ne soit diffusée l’émission spéciale du programme ‘Envoyé Spécial’ mettant en cause Nicolas Hulot, accusé de violences sexuelles, Marlène Schiappa, ministre déléguée à la Citoyenneté, a pris la parole sur France Info.
"S’il y a des éléments qui mettent en cause Nicolas Hulot, j’appelle de mes vœux que la justice puisse ouvrir une instruction", a expliqué Marlène Schiappa le jeudi 25 novembre, avant la diffusion du numéro d’’Envoyé Spécial’. "Je voudrais adresser un message de soutien à toutes les femmes qui ont vécu des viols ou des agressions sexuelles", a souligné la ministre déléguée à la Citoyenneté dans des propos retranscrits sur France Info.
Elle a aussi rappelé les possibles procédures judiciaires pouvant être ouvertes suite à ces révélations. "J’ai beaucoup entendu dire que, pour ces accusations, il y avait prescription", a-t-elle dit, et : "je rappelle que ce n’est ni aux journalistes ni aux personnes accusées de viol de dire si oui ou non il y a prescription". Mme Schiappa a ensuite tenu à appuyer que "seul un juge peut établir la prescription".
Le mercredi 24 novembre sur Bfmtv, Nicolas Hulot indiquait qu’il quittait "définitivement la vie publique", niant ces accusations de viol et d’agressions sexuelles.
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