Sur le plateau de France Inter le mercredi matin, Manuel Valls a été violemment interpellé par un auditeur concernant la gifle qu’il avait reçue en Bretagne. Cependant, l’agression verbale n’a fait que renforcer le candidat à la primaire PS dans sa détermination à gagner les prochaines présidentielles Françaises.
Alors que la campagne de Manuel Valls touche à sa fin pour cette primaire PS, les violences à son encontre se font de plus en plus fort. L’ancien Premier ministre qui vient de vivre l’incident de la gifle en Bretagne a été verbalement agressé sur le même sujet lors de son passage dans l’émission de France Inter, mercredi 18 janvier. Comme il est de tradition dans la matinale, Manuel Valls a eu un échange direct avec les auditeurs. L’un d’eux, un certain Guillaume de Grenoble, lui avait alors dit : "Salut Manu ! La claque c’était trop bon, on était 66 millions à vouloir te la mettre. C’était juste trop bon sans déconner. Il a été parfait, le bonhomme", comme rapporté par 20 Minutes.
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Le journaliste Patrick Cohen a immédiatement coupé la communication. "Cet appel à la violence c’est non", a-t-il protesté, comme rapporté par le Parisien. De son côté, Manuel Valls a fait preuve d’un grand calme par rapport à ces attaques. Il rappelle notamment que s’il fait l’objet de toutes ces agressions, c’est qu’il est le candidat qui peut gagner. "Je ne me laisserai pas impressionner et je poursuivrai ma campagne. Pour gagner, pour faire gagner la gauche", a lancé Manuel Valls.
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REVOIR - @manuelvalls : "Toute violence est inacceptable en démocratie" #Le79Inter pic.twitter.com/IwMls8mYo9
— France Inter (@franceinter) 18 janvier 2017
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