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Condamnation, tristesse et consternation. Les réactions des politiques se sont multipliées dans la nuit de jeudi à vendredi, après l’attentat terrible sur la Promenade des Anglais de Nice. Élus locaux et nationaux ont immédiatement fait part de leur émotion.
Après l’attaque meurtrière qui a fait plus de 80 morts à Nice, lors des festivités du 14 Juillet, les réactions du monde politique se sont succédées. Côté exécutif, le premier ministre Manuel Valls a précédé de peu le chef de l’Etat pour faire part de son "immense douleur". "Les Français feront face", a-t-il prévenu sur Twitter.
La ville de Nice frappée par le terrorisme le jour de notre Fête nationale. Immense douleur, le pays est en deuil. Les Français feront face.
— Manuel Valls (@manuelvalls) 15 juillet 2016
Sur Twitter le ministre de l’Economie a déclaré : "De tout cœur avec les victimes de l’odieuse attaque de Nice et leurs proches. Nous ne céderons pas. Courage". Ségolène Royal, ministre de l’Ecologie s’est également exprimée sur le réseau social : "Désolation et solidarité attristée et révoltée avec les victimes de Nice et tous les Niçois". Juliette Méadel, secrétaire d’Etat chargée de l’aide aux victimes a quant à elle tweeté : "Horreur à #Nice. Ne diffusez et ne relayez pas d’informations non vérifiées. Les secours prennent en charge les victimes".
La classe politique a activement utilisé Twitter pour dénoncer cet acte odieux. Nicolas Sarkozy, président du parti Les Républicains a exprimé son "émotion profonde et tristesse infinie face à l’attaque à #Nice06" et de montrer sa "solidarité à l’égard des Niçois et des habitants des Alpes-Maritimes". Eric Ciotti, député LR des Alpes maritimes a déclaré : "Immense émotion face à la terreur qui vient de frapper #Nice06 et devant les très nombreuses victimes de cet attentat". François Fillon a également montré son désarroi sur Twitter : "De nouveau l’horreur ce soir à Nice. Solidarité avec les Niçois lâchement frappés le jour de la fête nationale". Xavier Bertrand, président LR de la région Hauts-de-France évoque une "date si symbolique". "Nice frappée à cette date si symbolique. Toutes mes pensées vont aux victimes et à leurs familles. #Nice06", a-t-il tweeté.
Les principaux cadres du Front national, tels ses vice-présidents Florian Philippot et Marion Maréchal-Le Pen, ont sobrement fait part de leur effroi et leur consternation après l’attaque meurtrière qui a frappé Nice. "À nouveau la France plongée dans l’horreur. Pensées pour les victimes. La lutte contre le fondamentalisme islamiste doit démarrer MLP #Nice", a tweeté Marine Le Pen. Même ton pour Marion Maréchal Le Pen : "Horreur et consternation. Nous devons une fois de plus faire face à la barbarie. Avec les Niçois dans cette terrible épreuve. #Nice". Par contre, d’autres élus et responsables du parti FN se sont montrés ferme face à l’exécutif. C’est notamment le cas de l’eurodéputée Sophie Montel, qui a dénoncé le "laxisme" de l’exécutif et estimé que "face à la barbarie, les Français réclament des actes forts et pas du blabla de politicards UMPS".
Sur les réseaux sociaux, les réactions ont également enflé. Plusieurs personnes ont été fortement touchées par cet attentat. Les politiques internationales ont également fait part de leur consternation.
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