L’ex-compagne du président François Hollande s’est exprimée à propos d’une entrevue avec le chef du kremlin dans un bref tweet. Valérie Trierweiler s’est dite « heureuse de ne pas avoir à serrer la main de Poutine »
« Heureuse de ne pas avoir à serrer la main de Poutine », c’est par ce bref tweet que Valérie Trierweiler a exprimé son avis dans le cas où elle aurait à rencontrer le président russe. L’ancienne Première dame de France a évoqué une anecdote familiale dans un autre tweet, toujours à propos du président russe Vladimir Poutine, selon Le Monde. Léonard Trierweiler, son fils de 16 ans, se serait étonné d’une remarque de ce puissant chef d’Etat sur les femmes.
Vladimir Poutine effectuera une visite dans l’hexagone à l’occasion du 70e anniversaire du Débarquement allié en Normandie et sera invité pour souper à l’Elysée avec le président français François Hollande. Ce dernier aura auparavant dîné avec le président américain Barak Obama dans un restaurant de la capitale française. Au centre des discussions, les tensions en Ukraine et leurs répercussions sur les relations entre l’Union européenne et son grand voisin russe.
Valérie Trierweiler s’est toujours distinguée par sa liberté de ton à l’époque où elle était Première dame, avec un franc-parler qui fait mouche. Au beau milieu de la campagne des législatives, en juin 2012, c’est toujours à travers un tweet qu’elle affola les médias en défrayant la chronique. Valérie Trierweiler a apporté son soutien au candidat rival de Ségolène Royal, la mère des quatre enfants du président français François Hollande alors fraîchement élu chef d’Etat.