Le tribunal judiciaire de Bourgoin-Jallieu (Isère) a débouté une voisine qui se plaignait du chant du coq Ricco, accusé de troubler sa tranquillité.
Elle réclamait 4 500 euros et la suppression de l’animal.
Le tribunal ne s’est pas prononcé sur le fond (chant du coq en zone périurbaine), mais a condamné la plaignante à verser 2 000 euros pour préjudice moral aux propriétaires, plus 1 500 euros de frais de justice.
Ricco est décédé en juin, tué par un renard. L’affaire relance le débat sur la cohabitation entre modes de vie urbains et ruraux.