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La justice a classé sans suite l’accusation de Nordhal Lelandais pour les vidéos intimes avec ses ex-compagnes publiées sur Internet.
En septembre 2017, trois ex-compagnes de Nordahl Lelandais, dont une qui vit en Isère, ont découvert leurs vidéos intimes hébergées sur un site pornographique. Tournées à leur insu, ces images ont été postées sur une page appartenant au profil "Tyron 973". Et les trois femmes ont porté plainte contre l’ancien militaire.
"Faute de preuves", la justice vient de classer sans suite cette affaire, d’après Le Dauphiné Libéré relayé par Le Figaro. Déçues, les trois victimes ont annoncé vouloir contesté ce classement sans suite. L’une d’elles a expliqué suivre personnellement une thérapie. "Mon docteur m’a expliqué que cette vidéo, c’était comme un viol virtuel", a-t-elle renchéri.
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Dans ce sens, comme la justice estime qu’il n’y a pas de preuve, on lance un appel à ces autres femmes qui ont, peut-être aussi, été victimes de Nordahl Lelandais, a-t-elle indiqué. "Il a attaqué un jeune homme, il a attaqué une petite fille. Mais on a l’impression que les femmes n’existent pas dans les dossiers alors qu’il a un énorme passif avec elles", a annoncé cette victime.
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