Lors des manifestations des "Gilets Jaunes", certaines personnes adoptent des techniques plus radicales, selon les services de renseignements. D’où leur surnom les "ultra-jaunes".
Un haut responsable du renseignement a fait savoir qu’au sein du mouvement des "Gilets Jaunes" se trouve des manifestants plus radicaux, ce qui leur vaut de porter le nom d’"ultras-jaunes", rapporte Le Figaro. Selon ce responsable, ils ont emprunté les procédés de l’ultra-gauche et du black bloc.
Ce samedi 20 avril, 60 000 policiers et gendarmes ont été mobilisés pour faire face à la montée d’"ultra-jaunes". Ces derniers attendent cette date depuis des semaines et ont lancé pour l’occasion un appel national et international. De son côté, le gouvernement n’a qu’un seul objectif, celui d’éviter de reproduire un nouveau 16 mars.
"Un bloc radical de 1 500 à 2 000 personnes, composé d’ultra-jaunes et de membres de la mouvance contestataire, sont attendus ce samedi dans la Capitale", a écrit Didier Lallement, le préfet de police de Paris, dans une note que Le Parisien a pu consulter. Selon le préfet, ils chercheront à faire dégénérer le 23e samedi de mobilisation à Paris.
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