Cécile Rilhac, députée La République en Marche (LaREM) de la 3e circonscription du Val-d’Oise, dénonce la responsabilité des Gilets jaunes dans la dégradation de sa permanence.
Les actes de vandalisme visant les permanences des députés marcheurs n’en finissent pas. Après la dégradation de la permanence de Foix, c’est au tour de Cécile Rilhac députée La République en Marche (LREM) de la 3e circonscription du Val-d’Oise. Les faits se sont déroulés dans la nuit de mardi à mercredi. L’élue a publié une photo de la façade d’inscription sur Twitter sur laquelle il était mentionné : "LREMERDE". Il était également écrit "RIC", en référence au référendum d’initiative citoyenne, l’une des principales revendications des "Gilets jaunes".
À la suite de cet acte de vandalisme, Cécile Rilhac a réagi sur Twitter en pointant du doigt la responsabilité des "Gilets jaunes". "Le mur de ma permanence dégradée, merci les ’gilets jaunes’, car ce mur est celui des commerçants qui sont dans les mêmes locaux, la fenêtre taguée donne sur leurs locaux". "Autant de bêtises me consternent", a-t-elle écrit sur les propos relayés par France info. La députée a ajouté que LaREM ne céderait à aucune menace.
Selon la même source, ces dégradations sont la conséquence du vote des députés en faveur de la ratification du controversé traité de libre-échange entre l’Europe et le Canada (Ceta).
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Le mur de ma permanence dégradée, merci les #GiletsJaunes car ce mur est celui des commerçants qui sont dans les mêmes locaux, la fenêtre taguée donne sur leurs locaux.Qui sont les moutons ? Autant de bêtises me consternent. Nous @LaREM_AN ne céderont à aucune menace #démocratie pic.twitter.com/2UNn8eeSBD
— Cécile RILHAC (@Cecile_Rilhac) 31 juillet 2019
