A la veille de leur comparution devant le juge bordelais en charge du dossier Bettencourt, un journaliste et le directeur de la rédaction de Mediapart ont décidé de contre-attaquer pour « dénonciation calomnieuse », rapporte 20 minutes. « Il n’y a aucune raison de nous mettre en examen pour atteinte à l’intimité de la vie privée », a soutenu mardi Edwy Plenel lors d’une conférence de presse à Paris.