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Christiane Lelandais clame l’innocence de son fils depuis le début de cette affaire sordide. Elle "ne peut absolument pas imaginer qu’on ait retrouvé une trace de Maëlys" à son domicile.
Nouvel élément dans l’enquête sur la mort de Maëlys disparue au Pont-de-Beauvoisin (Isère) : une trace ADN lui appartenant aurait été mise en évidence au domicile de Nordahl Lelandais. Pour rappel, ce dernier a avoué l’avoir tué "involontairement" après la découverte d’ossements de la victime en février dernier.
La mère de Nordahl Lelandais assure sur RTL qu’elle n’a pas vu Maëlys entrer chez elle. Christine Lelandais affirme qu’elle ne peut "absolument pas imaginer qu’on ait retrouvé une trace de Maëlys" à son domicile. Elle raconte s’être couchée aux alentours de 2h15-2h30 du matin et assure n’avoir "rien vu, rien entendu". Elle reconstruit alors la soirée et se souvient d’un échange avec son fils, pendant lequel elle lui dit ne pas avoir entendu la voiture. Ce dernier lui répond qu’elle est garée "devant" le domicile. Ainsi, pour Christiane Lelandais, "impossible" que Maëlys soit entrée dans leur maison. Elle martèle : "S’il y avait eu quelque chose, il était obligé de passer devant ma chambre et j’aurais entendu marcher ou parler".
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Si une empreinte génétique a bien été découverte sur le canapé familial, il pourrait cependant ne s’agir que d’un cheveu ou d’un transfert d’un infime morceau de peau qui se serait posé sur les vêtements du suspect. En effet, impossible pour le moment de déterminer s’il s’agit d’une trace déposée directement par Maëlys, "ou qui aurait été apportée là par un tiers, peut-être Nordahl Lelandais", estime le quotidien francilien Le Parisien. Dans tous les cas, "ce meuble avait été saisi par les enquêteurs en septembre dernier, lors d’une perquisition", rapporte France Info, qui cite une source proche de l’enquête.
