L’enquête sur l’enlèvement de Jacqueline Veyrac, la riche hôtelière de 76 ans, avance. Sept personnes ont été déférées dimanche à l’issue de leur garde à vue
Dans le cadre de l’enlèvement de Jacqueline Veyrac, lundi près de chez elle, un détective privé a été entendu et placé en garde à vue. Selon Le Figaro, il aurait été informé du rapt mais n’aurait pas prévenu la police. Il devrait ainsi être mise en examen pour non empêchement de crime.
Soupçonnées d’être impliquées dans ce rapt, 6 autres personnes ont également été placées en garde à vue. Le parquet de Nice pourrait annoncer leur mise en examen, ce dimanche soir.
Rappel des faits
Enlevée lundi dernier dans le centre-ville de Nice, la femme d’affaires a été retrouvée 4 jours plus tard. Durant son enlèvement, elle avait "ses poignets et chevilles liés, ses yeux et sa bouche fermés par du ruban adhésif, détaille 20minutes.
Selon le procureur de la République de Nice Jean-Michel Prêtre, les principaux acteurs, les décideurs et les exécutants, sont déférés devant la justice. La septuagénaire a vécu "un véritable calvaire", a-t-il raconté.