Yvan Colonna a-t-il bénéficié d’un réseau d’aide structuré durant sa cavale ou a-t-il juste profité de l’hospitalité corse ? C’est la question à laquelle devra répondre le 8 juillet le tribunal correctionnel de Paris, à l’issue du procès de cinq Corses soupçonnés d’avoir caché le fugitif.