Elles s’appelaient Dikshita, Mahima, Fadila et Swaleha. Mis à part la sonorité orientale de leur prénom, ses femmes ont en commun d’avoir été tuées par un de leurs proches en l’espace d’un mois à Maurice. Le sort malheureux des femmes mauriciennes dans le giron familial est, une fois de plus, décrié dans l’île sœur.