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Ce mercredi 28 juillet, l’ayatollah Ali Khamenei, guide suprême iranien, a estimé que l’expérience du gouvernement sortant, quant aux échanges avec les grandes puissances et les États-Unis, a révélé que "faire confiance à l’Occident" n’était pas productif.
"Les générations futures devraient se servir de cette expérience. Il est apparu clairement au cours du mandat de ce gouvernement que faire confiance à l’Occident ne fonctionne pas", a affirmé l’ayatollah Khamenei au président sortant Hassan Rohani et aux membres de son cabinet, d’après le site officiel du guide suprême, rapporte Le Figaro.
L’ayatollah a ajouté qu’à chaque fois "que vous avez reporté des problèmes pour des questions d’accords avec l’Occident, l’Amérique et autres...vous étiez bloqué et ne pouviez pas progresser parce qu’ils ne vous aident pas", et que de toute façon, "ils sont les ennemis".
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Comme le rappelle Le Figaro, le principal succès diplomatique de Hassan Rohani est l’accord sur le nucléaire iranien conclu en 2015 entre Téhéran et les grandes puissances. Avec cela, l’Iran s’est vu alléger des sanctions internationales en échange de limites sur son programme. Pourtant en 2018, Donald Trump a retiré unilatéralement son pays, réimposant des sanctions punitives à la république Islamique.
Depuis le mois d’avril, l’Iran discute à Vienne avec les grandes puissances (indirectement avec les USA), pour relancer cet accord.
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