Zhang Zhan, une ancienne avocate, avait été condamnée en décembre 2020 pour avoir diffusé des vidéos de Wuhan au début de l’épidémie de la Covid-19. 4 ans de prison, c’est la sentence qui avait été prononcée par le gouvernement chinois à son encontre. Les motifs d’inculpation ? Avoir diffusé de « fausses informations » et « causé des troubles et cherché des querelles ». Zhang Zhan est un exemple parmi d’autres de la pression exercée sur les journalistes et les citoyens pour étouffer les faits. En cette journée internationale de la liberté de la Presse, on revient sur cette lutte perpétuelle.