Hier, le parquet de Paris a demandé la relaxe de Jacques Chirac et des neuf autres prévenus dans l’affaire des emplois présumés fictifs de la Ville de Paris. L’ancien président est dispensé de comparaître pour raisons de santé et son procès devrait s’achever vendredi 23 septembre. L’association anticorruption Anticor, partie civile, voit mal l’ex-chef d’Etat s’en tirer aussi facilement.