Malgré le report de la visite du président Hollande, les planteurs ont continué leur mouvement de grève. Les deux usines sucrières de l’île sont toujours à l’arrêt. Les planteurs souhaitent être rassurés concernant les quotas sucriers. Puisque François Hollande ne peut pas faire d’annonce, ils en appellent au directeur de l’usine, ou bien au préfet.