Ce mardi soir en quart de finale aller de la Ligue des Champions, le PSG se confrontera au Barça. L’entraîneur du club de la capitale, Carlo Ancelotti, a « un bon feeling » avant d’affronter le titan espagnol.
Le Paris Saint-Germain a officialisé le forfait de Thiago Motta, un ancien Barcelonais à l’instar d’Ibrahimovic et de Maxwell. La défection d’un de ses joueurs cadres ne semble pas désespérer Carlo Ancelotti. En conférence de presse, l’entraineur avoue qu’il a « un bon feeling » avant d’affronter le FC Barcelone.
« Tout le monde sait la difficulté de jouer contre le Barça. Mais pour nous, c’est un match fantastique », poursuit le technicien transalpin dans sa lancée et d’assurer : « Tous les joueurs doivent être contents de jouer ce match, même si c’est sans doute le plus dur possible ». Il veut voir « un PSG courageux, avec de la personnalité ». L’entraineur garde les pieds sur terre : « On n’aura peut-être pas beaucoup de possession mais quand on va l’avoir, j’espère qu’on aura de bonnes idées pour jouer, marquer et gagner ».
Pour sa part,
Zlatan Ibrahimovic estime que le Barça est sans doute
« la meilleure équipe actuelle et probablement la meilleure équipe à avoir jamais joué sur cette planète ». « On les connaît, ils aiment garder la balle et tout le monde connaît leur possession », rappelle le joueur, avant de souligner :
« Mais nous aussi, on voudra avoir la balle, on est à domicile. Et c’est très excitant de chercher des solutions pour les gêner. Mais c’est facile de parler, là où c’est dur, c’est de le faire sur le terrain. »
Côté Barcelonais, Jordi Roura, l’entraineur adjoint, se veut également réaliste, vantant les mérites du PSG sans réellement paraître inquiet : « Le PSG est une très grande équipe avec de très grands joueurs, qui a plusieurs cordes à son arc. Le jeu en contre est une facette de son jeu, mais il en a beaucoup d’autres, comme le jeu aérien ».
« On est assez habitué à jouer contre une équipe qui se ferme, mais le PSG va essayer autre chose que de jouer simplement en contre. Dans tous les cas de figure, on ne va pas changer notre façon de jouer en fonction de l’adversaire », rajoute-t-il.