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Lundi, la Fédération hondurienne de football (ou Fenafuth) a accusé l’Australie d’espionnage.
Selon le Honduras, les Australiens espionnent les entraînements de son équipe nationale avec un drone, avant la rencontre retour des barrages intercontinentaux en marge de la Coupe du Monde de 2018, prévue mercredi à Sydney. Les deux formations se sont quittés sur un nul 0-0 lors du match aller samedi à San Pedro de Sula.
"L’Australie espionne les entraînements officiels du Honduras avec un drone, ce qui met mal à l’aise l’équipe et la délégation hondurienne", a publié sur Twitter la Fenafuth, dans des propos rapportés par la presse française.
Par ailleurs, personne ne peut confirmer que ce fameux drone appartient à la fédération australienne.
Les journalistes de la presse hondurienne, envoyés en Australie, ont martelé le malaise du coach du Honduras, le Colombien Jorge Luis Pinto, très en colère que leurs adversaires en arrivent jusque là pour ce match retour de barrage de qualification au Mondial.
Pour rappel, les Australiens avaient atteint les 8e de finale de la Coupe du monde en 2006 en Allemagne. Par ailleurs, les Honduriens, ont pour objectif de participer une quatrième fois à la compétition, soit sa troisième consécutive après 2010 et 2014.
AUSTRALIA espía entrenamiento oficial de #Honduras desde un dron ; lo que ocasionó el malestar del equipo y delegación hondureña. pic.twitter.com/anCAgHtsMP
— FENAFUTH (@FenafuthOrg) 13 novembre 2017
