Les Bleus commenceront leur premier match contre le Honduras, ce dimanche à Porto Alegre. En attendant de voir leur performance, zoom sur les phrases qui ont marqué les dernières préparations.
Le quotidien 20 Minutes a compilé les petites phrases qui ont piqué la préparation des Bleus pour le Mondial 2014. Une occasion de marquer une petite trêve avant le grand match.
’’Franck Ribéry a peur des piqûres maintenant’’, Franck le Gall
Venu parler du suivi médical des Bleus lors d’une conférence de presse, le docteur Franck Le Gall a lancé une petite bombe en abordant le cas Franck Ribéry : "Ribéry appartient à un club, le Bayern, qui a l’habitude de soigner de nombreuses pathologies par injection. 20 à 25 par pathologie. De sorte qu’aujourd’hui Franck a peur des piqûres…".
’’Je ne télécommande pas les joueurs avec un joystick’’, Didier Deschamps
Les Bleus ont donné le mardi 10 juin une conférence de presse après leur arrivée au Brésil. ’’Mes joueurs sont des êtres humains et je ne les télécommande pas avec un joystick’’, a-t-il réagi quand on lui faisait remarquer que le sans-faute sportif et comportemental de son groupe semblait presque trop beau pour être sincère.
’’Je me sens fort’’, Karim Benzema
"Je me sens fort. Je fais partie des plus anciens ici et je dois montrer l’exemple. Il faut que je fasse la différence, je n’ai pas le choix", a indiqué Benzema lors d’une conférence de presse fin mai. En l’absence de Ribéry, il est temps pour lui de s’imposer comme le patron des Bleus.
’’Il ne faut pas dire n’importe quoi, ni mettre des choses intimes du groupe’’, Rémy Cabella
Au Brésil, les Bleus seront autorisés à tweeter ou facebooker leur Coupe du Monde. Mais attention, avec certaines limites. De la bonne utilisation des réseaux sociaux, Didier Deschamps a briefé ses joueurs. ’’Le coach nous a parlé des réseaux sociaux, nous disant de faire attention … Il nous a dit qu’on était libre de faire ce qu’on voulait mais qu’il fallait faire attention à ce qu’on écrit car nos propos peuvent être mal interprétés’’.
’’Je ne suis pas là pour assassiner un coéquipier’’, Loïc Perrin
Retenu comme réserviste pour le Mondial, Loïc Perrin veut profiter de sa première convocation en équipe de France pour ’’montrer de quoi il est capable’’. ’’Disputer la Coupe du monde serait un immense bonheur, mais je n’espère pas qu’il y ait des blessures. Je suis passé par là…’’. Lors des entraînements, cela se traduit par une vigilance accrue. ’’On n’est pas là pour blesser les autres’’, a-t-il rappelé. ’’On fait un minimum attention, je ne suis pas là pour assassiner quelqu’un’’.