Si le peloton va essayer de récupérer après deux jours dans les Pyrénées pour préparer le contre-la-montre décisif du samedi, les sprinteurs peuvent tenter leur chance en s’échappant.
Après les Pyrénées, le Tour de France remonte petit à petit vers Paris. De Blagnac à Brive-la-Gaillarde, -soit plus de 220 km-, est certes l’une des étapes les plus longues du Tour. Mais elle s’annonce comme une transition avant le contre-la-montre final du samedi pour les coureurs physiquement épuisés après deux jours de montagne.
Pour cette étape, il n’y a pas de grandes difficultés, toutefois elle est loin d’être plate avec quatre côtés (Saint-Georges, Cahors, Souillac et Lissac-sur-Couze). Si le peloton peut récupérer afin de préparer le contre-la-montre qui décidera le podium, l’échappée est la bienvenue. Les opportunités sont par ailleurs nombreuses. Mais tout dépend de la forme des coureurs.
Quelques coureurs peuvent ainsi se démarquer en tentant une échappée : Sagan, Cavendish et Greipel. Mais ils doivent compter sur leurs coéquipiers.