Une cinquantaine de personnes auraient été victimes de décapitation ce week-end dernier au Mozambique. Via Twitter, Emmanuel Macron a réagi à ce drame mercredi 11 novembre en dénonçant "un terrorisme islamiste".
Plusieurs médias ont évoqué la décapitation d’une cinquantaine de personnes au Mozambique au cours du week-end dernier. Ces chiffres n’ont pas encore été confirmés jusqu’ici.
La BBC, qui relaye des infos fournies par une agence d’Etat du pays, a évoqué l’attaque par des miliciens islamistes d’un village, situé dans la province du Cabo Delgado.
Courrier International rapporte les propos de Luiz Fernando Lisboa, l’évêque de Pemba (capitale régionale de la province du Cabo Delgado), qui a indiqué qu’"il y a bien eu des décapitations, mais il est impossible de définir le nombre de victimes".
"Les villageois qui essayaient de fuir ont été capturés puis amenés jusqu’à un terrain de football, où ils ont été décapités et coupés en morceaux", a aussi indiqué la BBC en citant des sources mozambicaines.
Selon 20 Minutes, Emmanuel Macron a réagi, mercredi dernier, à ces cas de décapitation sur Twitter en dénonçant "le terrorisme islamiste".
Au Mozambique, plus de 50 personnes ont été décapitées, des femmes kidnappées, des villages pillés puis incendiés. Des barbares détournent une religion de paix pour semer la terreur : le terrorisme islamiste est une menace internationale qui appelle une réponse internationale.
— Emmanuel Macron (@EmmanuelMacron) November 11, 2020
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