En pleine crise politico-économico-sociale, les voyants sont au rouge pour la Grande Ile, toutefois, quelques postes sont encourageant malgré la situation.
· 13 % : augmentation des activités informelles en 2009. La résistance de l’économie malgache à la crise qui perdure est liée à la hausse dans des activités informelles
· Ar 3 milliards : le montant emprunté par l’Etat à la Banque Centrale entre janvier et mai 2010.
· 440 millions de dollars : Les estimations de flux d’aide officielle depuis 2009 jusqu’au 1er trimestre 2010, soit 5 % du PIB.
· 40 % : augmentation de la production rizicole entre 2007 et 2009.
· 25 % : diminution des ventes des 100 plus grandes entreprises (qui représentent environ 1 / 3 du PIB malgache) en 12 mois de crise politique.
· 72.81 % : le pourcentage des jeunes malgaches qui ont eu leur 1er rapport sexuel entre 15 et 19 ans.
· 51 % : part des dépenses de l’Etat allouée au paiement des salaires au cours du premier semestre de 2010, les dépenses en capital ne représentant que 10 %.
· Ar 783.5 milliards : le montant des recettes fiscales entre janvier et mai 2010, soit une hausse de 13 % par rapport à la même période de 2009 et une baisse de 11 % par rapport à 2008.
· 15 % : part de l’artisanat dans le PIB avec plus de Ar 5 000 milliards de chiffres d’affaires.