Trafic d’espèces protégées, de pierres précieuses, de bois de rose, de zébus sur pied, ou encore pillage des ressources halieutiques, recrudescence de la piraterie maritime mais aussi augmentation de la pollution marine… La liste est longue, et les forces navales malgaches évaluent les manques à gagner sur l’économie nationale à 746,7 millions de dollars (environ 515,74 millions d’euros) en 2010, selon l’Express de Madagascar.