Deux jours après la sortie de son livre "Merci pour ce moment", l’ex-première dame, Valérie Trierweiler, est en voyage à Madagascar en compagnie d’un photographe.
Après le raz-de-marée provoqué par son livre incendiaire, Valérie Trierweiler s’est envolée pour Madagascar où elle doit rester une semaine, a révélé hier le site metronews.fr. Elle voyage avec le photographe indépendant Corentin Fohlen, et est arrivée à Antananarivo samedi matin. Elle devait prendre par la suite une ligne intérieure, dont la destination n’a pas été précisée.
Une source aéroportuaire malgache citée par le quotidien L’Express de Madagascar a affirmé que Valérie Trierweiler " n’avait pas de visa à son arrivée et en avait demandé sur place. Un responsable de la présidence de la République est venu la chercher ici (à l’aéroport) ".
Un ses proches collaborateurs a affirmé que son séjour à Madagascar était d’ordre professionnel : "Elle n’est ni en vacances, ni en action humanitaire. Vous verrez prochainement dans Paris Match l’objet de sa venue ". D’autres sources affirment que son billet a été réservé dans une agence du Nord de la France et par le groupe Lagardère Active, propriétaire de Paris Match, son employeur.
La journaliste est en terre malgache pour faire un reportage sur la pratique du "Tsenan’ampela " ou "marché aux filles" dans le pays Bara, dans le sud-ouest de Madagascar, selon encore d’autres sources.
"Merci pour ce moment", le livre de Valérie Trierweiler était vendredi en rupture de stock dans la très grande majorité des points de vente, "preuve d’un démarrage hors normes", a indiqué le président du Syndicat de la librairie française (SLF).
Le même jour, François Hollande s’est exprimé pour la première fois sur le sujet au cours d’une conférence de presse organisée à l’issue d’un sommet de l’Otan à Newport (Royaume-Uni). Il a fermement récusé les accusations de Valérie Trierweiler selon lesquelles il mépriserait les pauvres, assurant au contraire que sa " raison d’être " était d’être " au service » des « plus fragiles, des plus modestes, des plus humbles".