La police mauricienne a pris des mesures intensives pour lutter contre la prostitution dans diverses régions de l’île dont Flic-en-Flac, Quatre-Bornes, Rose-Hill, Curepipe ou Grand-Baie.
La police mauricienne orchestre ces derniers temps une vaste opération de lutte contre la prostitution, en multipliant les patrouilles et en intensifiant les contrôles dans les zones touchées par ce fléau, dont Flic-en-Flac, Quatre-Bornes ou Grand-Baie.
Sont ciblés par la force policière au moins une dizaine de sites nocturnes les plus fréquentés par les prostituées et les proxénètes de l’île
Maurice. Les environs des plages publiques sont ainsi scrutés de façon accrue par les policiers, qui ont installé des caméras de surveillance dans les endroits dits stratégiques, notamment à proximité des night-clubs, discothèques, casinos et autres maisons de jeux...
Afin de dissuader les professionnels de sexe, les policiers mauriciens ont revu leur stratégie en renforçant les mesures répressives. Ainsi, l’installation prochaine d’une centaine de vidéosurveillances a été annoncée dans la capitale Port-Louis, et dans les autres villes telles que Quatre-Bornes, Rose-Hill et Curepipe.
Ils ne ménagent aucun effort pour assainir le milieu de la prostitution qui « ne cesse de gagner du terrain aux alentours des jardins, des gares routières et au cœur même des cités », comme le relate Indian Ocean Times.