Cette histoire incroyable soulève actuellement une vague d’émotion en Allemagne. Une jeune étudiante allemande de 24 ans a été déclarée assassinée en 1984. Elle a été retrouvée bien vivante cette semaine.
Disparition mystérieuse en 1984
L’affaire qui suit remonte à plus de 30 ans. En juillet 1984, une jeune Allemande du nom de Petra Pazsitka disparaît mystérieusement. Cette dernière est âgée de 24 ans et était étudiante en informatique. Sa disparition se serait déroulée entre chez son dentiste et le domicile de son frère, à qui elle devait rendre visite. Une enquête faite par les autorités locales a mené à un homme qui avoue être le meurtrier de Petra Pazsitka. Cependant, le corps de la victime reste introuvable.
La jeune femme était bel et bien vivante durant ces trente années. L’histoire autour de cette disparition vient de se démêler par le plus grand des hasards. Le 11 septembre dernier, une femme âgée de 55 ans se présente au commissariat de Düsseldorf pour déposer une plainte. Elle déclare qu’elle s’appelle Madame Schneider mais n’est pas en mesure de justifier son identité. Les policiers lui expliquent alors qu’ils ne peuvent pas enregistrer sa plainte sans papier.
La jeune femme se rend auprès des forces de l’ordre
Devant l’insistance des forces de l’ordre, la plaignante avoue alors l’impensable : elle est en fait Petra Pazsitka. Même si un doute s’installe, les policiers se rendent rapidement compte qu’elle dit la vérité.
Que faisait Petra durant toutes ces années ? A cela, elle répond avoir travaillé "au noir". Elle avait alors effectué tous ses paiements en liquide. La femme désormais quinquagénaire a vécu dans différentes villes d’Allemagne mais la justice allemande ne la considère pas en infraction.
Quant à la raison de sa disparition, Petra Pazsitka refuse de se prononcer. Pourtant, elle assure que la raison de son départ volontaire n’est pas d’ordre familial. Une excuse que les policiers ont du mal à croire sachant qu’elle ne souhaite pas actuellement renouer le contact avec sa mère et son frère. Ces derniers lui avaient pourtant écrit depuis que les médias ont fait gorge chaude de sa "résurrection".