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Parmi les victimes de ce raid américain reconnu officiellement par Washington se trouve la fille du terroriste Anwar al-Awlaki, âgée de 8 ans. Le raid a été décidé par le nouveau président des États-Unis Donald Trump.
À peine au pouvoir, Donald Trump n’en finit pas avec les exactions à travers le monde. Le premier raid aérien autorisé par le nouveau président des États-Unis au Yémen a fini en hécatombe. Selon le commandement des forces armées américaines au Moyen-Orient, ce raid contre Al-Qaïda avait "probablement" tué des civils, dont plusieurs enfants. Une source yéménite a même fait état de 41 membres d’Aqpa abattus, ainsi que huit femmes et huit enfants. Un soldat américain aurait également trouvé la mort dans ce raid aérien.
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D’après le Centcom, rapporté par 20 Minutes, le raid aérien a été lancé afin de venir en aide aux soldats américains qui se battaient à terre au même moment. "Les possibles victimes civiles semblent avoir été prises dans les tirs" d’avions, a ajouté l’instance militaire. Le communiqué a également précisé que l’ennemi comptait parmi ses rangs des femmes. Al-Qaïda dans la péninsule arabique (Aqpa) "a une tradition bien établie et horrifiante de cacher des femmes et des enfants dans ses zones d’opération et ses camps, et démontre en permanence son mépris pour les vies innocentes", a déclaré le colonel John Thomas, porte-parole du Centcom.
La fille du terroriste américano-yéménite Anwar al-Awlaki ferait partie des victimes, d’après la famille de cette dernière. Elle disposait de la nationalité américaine et avait huit ans. D’après les affirmations faites par le Pentagone, ce raid aérien est la première opération anti-terroriste autorisée par Donald Trump. Cependant, les services militaires américains ont précisé que cette opération contre Aqpa était déjà en cours de préparation quand Barack Obama était encore au pouvoir.
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