Valérie Trierweiler et François Hollande ne se parlent plus

Paru le 4 septembre dernier, ’Merci pour ce moment’, le livre polémique de Valérie Trieweiler s’est déjà écoulé à plus de 442 000, rapporte aujourd’hui le site purepeople.com. Dès les premières pages, l’ancienne première dame accuse François Hollande d’avoir été d’une violence extrême en mettant fin à leur histoire de cœur par un simple et très froid communiqué.

Mais les vagues provoquées par la publication de l’ouvrage s’avèrent aujourd’hui difficile à gérer pour Valérie Trierweiler. D’après Le Parisien, qui publie un grand dossier sur la journaliste de Paris Match, "dans son propre entourage, certains n’ont pas compris, et surtout pas admis, ce lavage de linge sale en public. Quelques-uns ont rompu avec elle, d’autres sont en froid. Elle en souffre", peut-on lire.

Mais le premier à détaler, c’est bien évidemment François Hollande, « atterré » par les attaques, les révélations et les confidences comme la fameuse phrase sur les « sans-dents ». Les proches du président mais aussi beaucoup de personnalités du show-business partagé leur avis sur le livre. Ainsi, Jean-Michel Ribes, un ami personnel de François Hollande, n’a pas hésité à franchir les limites en la comparant à Hitler, qui lui aussi vendait "beaucoup de livres", a-t-il dit sur RMC.

Libérée de son rôle de première dame, dont elle évoque des limites floues, la journaliste est redevenue une femme de gauche, simple citoyenne, sensible aux sorts des plus démunis, rappelant avec émotion qu’elle est « une petite fille d’une ZUP d’Angers ».

On l’a vue auprès des enfants avec le Secours populaire, puis à Madagascar. C’est dans le quartier de Barbès qu’elle était aperçue le 27 septembre, prise avec une nuée de badauds voulant à tout prix une photo avec elle. Est-ce là le début d’un retour de flamme avec les français qui sont 69% à avoir une mauvaise image d’elle ?