Catacombes
Tremblez dans les salles obscures du département avec le film d’épouvante-horreur ‘Catacombes’ qui se déroule sous … Paris !
Un réseau de sous terrains complexe et inextricable émaille sur des kilomètres le sous-sol de Paris : Les catacombes, la dernière demeure d’innombrables âmes. Lorsqu’une équipe d’explorateurs s’aventure au cœur d’une partie inconnue de ce labyrinthe d’ossements, ils percent avec effroi le secret de la véritable vocation de cette cité des morts.
CATACOMBES est un voyage au cœur de la folie et de la terreur, qui extirpe des tréfonds de l’âme humaine nos démons les plus intimes afin qu’ils reviennent nous hanter tous.
‘Catacombes’ est signé par John Erick Dowdle et co-scénarisé par son frère Drew Dowdle, qui s’était déjà occupé des scénarios de ses deux précédents films, à savoir ‘En quarantaine’ (2009), le remake hollywoodien de ‘Rec’, et ‘The Poughkeepsie Tapes’ (2007).
Au casting, on retrouve Perdita Weeks (Scarlett), Ben Feldman (George), Edwin Hodge (Benji), François Civil (Papillon), Marion Lambert (Souxie), Ali Marhyar (Zed), et Cosme Castro (La Taupe).
Selon Allocine, ‘Catacombes’ a été tourné dans les vraies catacombes de Paris. Une catacombe ou ‘ossuaire municipal’ est l’endroit où sont réunis les ossements qui se trouvaient dans tous les anciens cimetières de Paris depuis la fin du 18ème siècle à la fin du 19ème siècle. Le long-métrage de Dowdle n’est pas le premier à avoir été tourné dans ces tous-terrains car avant lui d’autres réalisateurs s’y sont risqués, à savoir Philippe de Broca pour ‘Cartouche’ (1962), Pierre Tchernia pour Les ‘Gaspards’ (1974) ou encore Jean-Jacques Annaud pour ‘Le Nom de la Rose’ (1986).
Tourner dans les catacombes de Paris n’était pas du tout évident pour Perdita Weeks, celle-ci notamment de confier : "C’est un des tournages les plus physiques que j’ai jamais connu : non seulement il fallait que je saute dans tous les sens, harnachée de grosses caméras avec des batteries énormes sur la tête, mais en plus, la plupart du temps, je devais me déplacer accroupie, à genoux ou en rampant, couverte de bleus et les mains en charpie, le tout dans des tunnels plein d’ossements et bien évidemment couverte de boue et de sang... C’était aussi éreintant que stimulant."
