Deux centres d’accueil de jour pour les femmes victimes de violences conjugales viennent d’être créés à St-Denis et au Tampon par les associations Amafar-Epe et Femmes d’Outre-mer.
Afin d’accueillir dans les meilleures conditions les femmes qui sont victimes de violences conjugales, deux centres d’accueil de jour viennent d’ouvrir leurs portes : l’un dans le nord à Saint-Denis et le deuxième, dans le sud de l’île, au Tampon.
Deux associations se sont battues pour assurer l’ouverture de ces deux centres d’accueil : Amafar-Epe et Femme d’Outre-mer. "Ces deux centres sont des lieux de transition, d’échange et de convivialité au sein desquels les femmes victimes peuvent rompre leur isolement et recevoir sans démarche préalable une aide et un soutien".
Inaugurés ce lundi 6 mai, ces deux centres ont été mis en place suite à l’appel à projet lancé par le ministère du droits des femmes en juillet 2012 et relayé sur le plan local par la Délégation régionale aux droits des femmes et à l’égalité entre les femmes et les homme.
A 10h30 ce matin, Ronan Boillot - sous-préfet délégué à la cohésion sociale et à la jeunesse - étaient aux côtés de Daniel Pellegrin - président de L’Amafar-Epe - et Sophia Castaingt - présidente de Femmes des Hauts, Femmes d’Outre-mer - afin de présenter ces deux centres d’accueil.