En dépit de l’interdiction d’accès au chantier de la route des Tamarins, ils sont des centaines, voire des milliers à emprunter quotidiennement le dernier ruban d’asphalte réunionnais. Paradoxalement, et malgré la dangereuse cohabitation avec les engins de chantier, c’est notamment pour des raisons de sécurité qu’une bonne partie des cycliste déclare privilégier cet axe interdit au public, plutôt que les voies déjà existantes où les automobilistes sont rois.