L’atelier intitulé "identité, culture et mémoire" - et plus précisément celui des arts visuels- marque le lancement des séances publiques relatives aux états généraux. Rendez-vous était donné dès 14h00 afin que chacun puisse s’exprimer et apporter sa contribution en la matière. Entre les arts visuels, les arts appliqués, la photographie, vidéo, bande dessinée (...), sept sous-thèmes seront évoqués dans les jours à venir. Pourtant, le public n’a pas répondu en nombre à ce rendez-vous.
Pour mémoire, les états généraux ont été proposés par le Président de la République à la suite de la rencontre des élus d’Outre Mer qui s’est tenue le 19 février à l’Elysée.
Les états généraux ont pour but de permettre à tous les acteurs impliqués dans l’avenir de l’Outre Mer de prendre la parole. Parallèlement, des réunions publiques sont programmées afin que la population puisse participer activement aux échanges.
Ce vendredi 15 mai aura donc été marqué par la première séance publique qui s’est déroulée à la Faculté de Saint-Denis dès 14h00.
Pour ce lancement, l’atelier "identité, culture et mémoire" aura retenu toutes les attentions. Sept sous-thèmes dont les arts visuels, les arts appliqués, la photographie, la vidéo, la bande dessinée (...) seront évoqués dans les jours à venir.
L’affluence du public n’aura pourtant pas été marquante puisque seule une trentaine de personnes se sont déplacées à la faculté de Saint-Denis.
En grande majorité, ce sont des professionnels de la Culture qui étaient présents ainsi que des acteurs de terrain.
Au programme de cet après-midi : partage des opinions, réflexions récoltées en vue de définir clairement les thèmes des ateliers transversaux durant lesquels les débats seront ouverts au public...
Cette nouvelle phase de travail a été ouverte par le président du groupe "identité, culture et mémoire", Roger Ramcheti.
A noter : les résultats affiliés aux travaux des états généraux seront transmis au Gouvernement qui souhaite disposer des propositions de chaque département d’Outre Mer afin d’assurer des évolutions en profondeurs qui paraissent nécessaires.
La participation de tous les Réunionnais est donc fortement souhaitée afin que chacun puisse contribuer au devenir du département.