ll y a quelques jours, la candidate FN a mis le feu aux poudres en relançant un vif débat autour de l’accès à l’IVG. Marine Le Pen a affirmé qu’en cas de nécessité budgétaire, elle était prête à prendre la décision de ne plus rembourser ce qu’elle considère comme « des avortements de confort ». Alors que la classe politique s’agite sur le plan national, à la Réunion, cette question de société est également au coeur des discussions. Le nombre d’IVG pratiquées dans notre département est en effet bien supérieur à la moyenne nationale. Les professionnels de la santé tirent la sonnette d’alarme.