Après une période d’accalmie, le feu a repris de plus belle jeudi. Toute la nuit, des centaines d’hommes et de femmes se sont relayés pour lutter contre les flammes. Hier soir, à 23 heures, l’incendie du Maïdo s’étendait sur une enveloppe de 1230 hectares. Les flammes qui ont atteint les remparts de Cilaos, menaçaient la forêt des Makes et du Tévelave, faisant craindre aux secours et à la population le pire.
Le calme aura été de courte durée. Hier soir, après que le vent s’est subitement levé, une langue de feu a atteint le Petit Bénare et les remparts du cirque de Cilaos. Sur le flanc droit, le brasier qui a redoublé d’importance a progressé rapidement vers la forêt des Makes à Saint-Louis et la forêt du Tévelave, suscitant une grande inquiétude du côté des autorités et des Réunionnais résidant dans les deux zones concernées. Toute la nuit, les secours ont concentré leurs efforts sur ce secteur, tentant de contenir le feu afin d’éviter qu’il ne se propage davantage.
En octobre 2010, l’incendie du Maïdo s’était étendu sur une enveloppe de 870 hectares. Au quatrième jour de ce nouvel incendie, la situation s’avère bien plus grave que l’an passé : les flammes, qui ont déjà ravagé près de 500 hectares de végétation, s’étendent désormais sur une surface supérieure à 1200 hectares.
L’essentiel des moyens a été dépêché sur le flanc Sud-Est hier soir. 70 pompiers parmi lesquels des membres du GIH de la Sécurité Civile ont été mobilisés sur le fond très actif du Tévelave pour opérer les manoeuvres les plus périlleuses.
S’il ne fait aucun doute que cet incendie ravageur est né de la main humaine, il semble aujourd’hui que le ou les auteurs de ce crime - passible de 15 années de réclusion - aient récidivé. Hier soir, alors que la situation était sous contrôle au Nord, plusieurs départs de feu ont en effet été enregistrés.
Cette reprise serait due elle aussi à un acte malveillant. En parallèle du travail mené par les sapeurs-pompiers de la Réunion, les militaires de la métropole, les agents de l’ONF et du Parc National, les autorités s’affairent elles aussi pour démasquer le ou les pyromanes. Les forces de gendarmerie déployées en nombre autour de la zone sinistrée ont procédé à des contrôles inopinés. Certains véhicules ont été fouillés et des identités relevées.
Depuis le début de cet incendie, les élus de la Réunion se sont succedés pour condamner ces actes criminels. Hier, la Présidente du Département Nassimah Dindar a annoncé des renforts supplémentaires au niveau local. Tous les pompiers volontaires ont été appelés à rejoindre leurs casernes.
Le calme aura été de courte durée. Hier soir, après que le vent s’est subitement levé, une langue de feu a atteint le Petit Bénare et les remparts du cirque de Cilaos. Sur le flanc droit, le brasier qui a redoublé d’importance a progressé rapidement vers la forêt des Makes à Saint-Louis et la forêt du Tévelave, suscitant une grande inquiétude du côté des autorités et des Réunionnais résidant dans les deux zones concernées. Toute la nuit, les secours ont concentré leurs efforts sur ce secteur, tentant de contenir le feu afin d’éviter qu’il ne se propage davantage.
En octobre 2010, l’incendie du Maïdo s’était étendu sur une enveloppe de 870 hectares. Au quatrième jour de ce nouvel incendie, la situation s’avère bien plus grave que l’an passé : les flammes, qui ont déjà ravagé près de 500 hectares de végétation, s’étendent désormais sur une surface supérieure à 1200 hectares.
L’essentiel des moyens a été dépêché sur le flanc Sud-Est hier soir. 70 pompiers parmi lesquels des membres du GIH de la Sécurité Civile ont été mobilisés sur le fond très actif du Tévelave pour opérer les manoeuvres les plus périlleuses.
S’il ne fait aucun doute que cet incendie ravageur est né de la main humaine, il semble aujourd’hui que le ou les auteurs de ce crime - passible de 15 années de réclusion - aient récidivé. Hier soir, alors que la situation était sous contrôle au Nord, plusieurs départs de feu ont en effet été enregistrés.
Cette reprise serait due elle aussi à un acte malveillant. En parallèle du travail mené par les sapeurs-pompiers de la Réunion, les militaires de la métropole, les agents de l’ONF et du Parc National, les autorités s’affairent elles aussi pour démasquer le ou les pyromanes. Les forces de gendarmerie déployées en nombre autour de la zone sinistrée ont procédé à des contrôles inopinés. Certains véhicules ont été fouillés et des identités relevées.
Depuis le début de cet incendie, les élus de la Réunion se sont succedés pour condamner ces actes criminels. Hier, la Présidente du Département Nassimah Dindar a annoncé des renforts supplémentaires au niveau local. Tous les pompiers volontaires ont été appelés à rejoindre leurs casernes.
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