Déjà deux ans que les ex-salariés de l’Arast attendent le versement de leurs indemnités de licenciement. La forte mobilisation de départ s’est essoufflée. Aujourd’hui, seule une douzaine d’anciens employés se sont rendus à la Préfecture pour y déposer un courrier dans lequel ils exposent leurs craintes pour l’avenir.