Un hypnotiseur a proposé à des volontaires de se laisser prendre au jeu à Saint-Denis.
Plusieurs personnes ont accepté de se faire hyptoniser par Thomas Arcens. L’homme a montré ses talents au jardin de l’Etat à Saint-Denis.
L’hypnotiseur aborde les passants dans la rue. Certains acceptent et le spécialiste teste alors leur réceptivité avant de se lancer dans une séance. Il souhaite laisser une bonne image de la discipline.
Dorian : "C’était super. J’ai toujours voulu faire ça. C’est comme si on était endormi, mais ont conscient de ce qu’on nous dit de faire. On cherche à sortir de l’hypnose, mais on peut pas. C’est comme si quelqu’un nous contrôlait, mais on est conscient."
Magalina : "J’avais peur, j’y croyais pas mais maintenant j’y crois. C’est super ! C’est à faire !"
Sabine : "Il faut essayer de faire. Moi, je n’y croyais pas avant, je pensais que c’était de la comédie ! C’est comme si on avait un trou de mémoire, on se souvient pas, c’est ça qui est impressionnant !"
"Je fais de l’hypnose dans la rue depuis 4 ans. J’exerce en cabinet aussi en tant qu’hypnothéarapeute. C’est une passion comme une autre. Le jour où j’ai appris que devenir hypnotiseur ne demandait pas un don et que ça s’apprend, je me suis donné à fond. Quand on fait de l’hypnose de rue, il faut aller aborder les gens qui se baladent. L’objectif est que chaque personne reparte avec un super souvenir. On ne peut pas tout faire faire à n’importe qui. On ne peut pas forcer quelqu’un à faire quelque chose qu’il ne veut pas faire, il faut que la personne soit d’accord avec les suggestions qu’on propose. Tant qu’on propose des suggestions sympa, ça va."