Adopté en première lecture le 14 avril, le projet de loi sur la santé comprend de nombreux articles et l’un d’entre eux - portant sur le don d’organes - provoque de multiples réactions. Dorénavant, toute personne qui n’aura pas explicitement refusé le don d’organes pourra désormais être prélevée sans l’accord de ses proches, qui seront seulement informés et non plus consultés.