Rahiba Dubois et Jean-Pierre Marchau, les deux dissidents du Parti Europe Ecologie Réunion, ont tenu une conférence de presse en plein air afin de soutenir le projet d’Adaptation aux changements climatiques de l’Alliance.
Au coeur du Jardin de l’Etat à Sait Denis, les deux dissidents du Parti Europe Ecologie Réunion ont de nouveau expliquer les motivations de leur ralliement à l’Alliance. En tant qu’écologiste, Jean-Pierre Marchau explique qu’il a décidé de se rallier à l’Alliance pour conduire la Réunion sur la voie du développement durable de façon efficace et protéger la Réunion des menaces de demain au niveau climatique.
Selon Rahiba Dubois "on ne peut pas se dire écologiste et refuser un projet comme le tram train et on ne peut pas non plus avoir un tram train gratuit sans entraîner des conséquences par rapport à l’augmentation des impôt par exemple". Cette opinion est partagée avec Jean-Pierre Marchau qui souligne une fois encore, l’importance de la concrétisation du projet tram train. "Un tram train vert gratuit, cela me fait penser à un éléphant rose" pouvait-on entendre lors de ce rendez -vous fixer par les nouveaux militants de l’Alliance.
Cet après midi, les dissidents Verts inscrits sur la liste de l’Alliance ont donc convié la presse dans le but de "présenter en profondeur les programme écologique de l’Alliance et le grand projet d’Adaptation aux changements climatiques". Pour Rahiba Dubois comme pour Jean-Pierre Marchau, le combat de l’écologie passe par le développement des énergies propres.
Les dissidents du parti Europe Ecologie Réunion ont de nouveau présenter l’intérêt écologique et économique du projet du Tram train une priorité qui doit à terme aller de Saint-Benoît à Saint-Joseph. Selon eux, c’est un outil d’aménagement structurant et de surcroît un mode de déplacement « propre » répondant aux critères du développement.
Rahiba Dubois et Jean-Pierre Marchau soutiennent l’Alliance car selon eux, il s’agit du seul parti qui ait étudié en profondeur le volet écologique et environnemental. Ils rappellent une fois encore qu’il faut impérativement "privilégier les énergies propres (panneaux photovoltaïques...) et non pas les énergies fossiles". De plus, le développement de ce secteur permettrait "la création de 14 000 emplois d’ici à 2025, soit environ 900 emplois par an" selon leurs calculs.