Dimanche 1er novembre, un incendie a ravagé la maison de la famille Souprayen-Cheng située dans le lotissement Ramassamy à Saint André. Depuis, les cinq personnes de cette famille sont à la rue, faute de relogement. Après plusieurs demandes d’aides pour leurs besoins de première nécessité, cette famille dénonce l’attitude et le mépris de la mairie à leur égard en raison de son silence.
Après plusieurs demandes d’aides à la Mairie de Saint André, la famille Souprayen-Cheng affirme qu’elle n’a reçu aucune réponse de la part de la municipalité.
Depuis dimanche soir, les cinq membres de cette famille sont donc seuls et à la rue après l’incendie qui a ravagé leur maison devenue totalement inhabitable.
Ils pointent du doigt "l’attitude et le mépris de la mairie" : "j’ai sollicité de l’aide à la mairie mais celle-ci n’a pas daigné répondre, même pas pour assurer nos besoins de première nécessité" explique Madame Sourpayen-Cheng, mère de famille victime de cet incendie.
"Etant une famille de cinq personnes, nous sommes à la rue depuis dimanche soir" explique cette maman qui a donc décidé de convier la presse afin de constater l’état de sa case ou plus précisément, les ruines de sa maison ravagée par les flammes.
Dans l’attente d’un relogement temporaire, la famille Souprayen-Cheng vit dans des conditions de précarité particulièrement difficiles, sans réponse aux demandes formulées auprès de la municipalité.
Cette famille en détresse affiche une seule volonté : retrouver un toit, le temps nécessaire à la réalisation des travaux qui leur permettront de vivre décemment au sein de leur maison.