Rebondissement devant la Cour d’Assises dans le cadre du deuxième jour du procès de Samuel Amouny. En effet, son avocat a demandé à la Cour une requalification des faits en "violences volontaires ayant entraîné la mort sans intention de la donner". Initialement poursuivi pour "torture ou acte de barbarie, ayant entraîné la mort sans intention de la donner et violences aggravées", Samuel Amouny devrait rapidement être fixé sur son sort.

Agé de 34 ans au moment des faits en août 2009, cet homme est accusé d’avoir aspergé d’essence sa concubine Claudine Gambier avant de la brûler. Hospitalisée d’urgence, la victime de ce drame conjugal est décédée des suites de ses blessures.